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Vladimir Petkovic veut conjurer le sort

L’équipe de Suisse est confrontée à une avalanche de forfaits, celui de Breel Embolo étant le dernier en date. Pourtant, le sélectionneur croit à l’accès au «final four» de la Ligue des nations.

13 nov. 2018, 00:01
Nationaltrainer Vladimir Petkovic, Mitte, und die Spieler der Schweizer Nationalmannschaft beim Training anlaesslich des Zusammenzuges der Schweizer Fussball-Nationalmannschaft, am Montag, 12. November 2018 im Stadion Stadio Cornaredo in Lugano. (KEYSTONE/Ti-Press/Alessandro Crinari) SCHWEIZ FUSSBALL NATIONALMANNSCHAFT

«J e ne veux pas me lamenter. Je préfère agir, démontrer que nous sommes capables de conjurer le sort!» Vladimir Petkovic coule depuis deux semaines des jours difficiles. Le sélectionneur national redoute de ne pas pouvoir aligner dimanche à Lucerne sa meilleure équipe face à la Belgique dans une rencontre qui peut ouvrir à la Suisse les portes du «Final Four» de la première Ligue des nations.

Déjà privé pour cette «Finalissima» de Fabian Schär, suspendu, de son capitaine Stephan Lichtsteiner, de Roman Bürki, de Manuel Akanji, de Johan Djourou et d’Admir Mehmedi, blessés, le «Mister» doit faire face au forfait de dernière minute de Breel Embolo. Titularisé dimanche à Francfort avec Schalke, le Bâlois souffre d’une fracture au pied. Elle le tiendra éloigné des terrains pendant au moins six semaines. Le sélectionneur a fait appel à Dimitri Oberlin (FC Bâle) pour le remplacer.

L’exemple d’Embolo, qui a joué en...

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