«Ce que je retiens de la victoire contre l’Espagne en 2010? Que rien n’est fini après le premier match». Dans chacune des sept langues qu’il maîtrise, Gelson Fernandes a le sens de la formule. Dimanche (20h) face au Brésil lors de l’entrée en lice de l’équipe de Suisse à la Coupe du monde, le héros de Durban n’aura sans doute pas le même rôle prépondérant qu’il y a huit ans jour pour jour. Sorti de nulle part à la 52e minute, le Valaisan avait offert un succès aussi historique qu’inutile à son pays.
Battre la Seleçao demain ...