Difficile pour l'observateur neutre de désigner un favori entre la rigoureuse formation sévillane et l'équipe britannique qui a séduit l'Europe par son jusqu'au-boutisme lors de quarts et demi-finales de folie ces dernières semaines.
Les profils des deux équipes n'ont rien de commun, tant Séville a vécu une saison régulière, sans crise, alors que Middlesbrough est passé par tous les états, du pire au meilleur, avant de s'inviter à l'apothéose d'Eindhoven. / si