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Constantin veut régler l’histoire autour d’une table

21 oct. 2017, 00:42
Christian Constantin, gauche, president du FC Sion, s'exprime sur sa condamnation a une amende de 100'000 francs et a une interdiction de stade de 14 mois par la Commission de discipline de la Swiss Football League (SFL) et la candidature de la ville de Sion pour les Jeux olympiques d'hiver, lors l'interview de Elisabeth Logean, journaliste de la TSR sur le plateau de l'emission Mise au point de la Radio Television Suisse, ce dimanche 15 octobre 2017 a Geneve. (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi) SUISSE TSR CHRISTIAN CONSTANTIN

Condamné à quatorze mois d’interdiction de stade dans l’affaire Fringer, Christian Constantin (Keystone) préférerait gérer ce problème loin des regards. «Pourquoi Rolf (réd: Fringer) et moi ne pourrions-nous pas régler tout ça entre nous?», s’est demandé le patron du FC Sion dans un entretien avec l’«Aargauer Zeitung».

«Pourquoi ne pourrions-nous pas nous asseoir autour d’une table afin de trouver une solution?», a poursuivi le Valaisan, qui a également écopé d’une amende de 100 000 francs pour une agression commise devant les caméras sur la personne de Rolf Fringer le 21 septembre, au sortir d’un match remporté par le FC Sion à Lugano. «CC» propose d’organiser un camp d’entraînement pour des réfugiés, camp qui serait placé sous la direction de Rolf Fringer. «Ce serait le plus raisonnable», estime Christian Constantin.

Sa victime et la justice sportive n’ont cependant probablement pas le même point de vue. ats

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