Ricardo Ricco, suspendu deux ans en raison d'un contrôle positif à la Cera (une EPO retard) sur le dernier Tour de France, a déposé un appel devant le TAS. L'Italien conteste le fait que le Comité olympique italien (Coni), qui l'a sanctionné le 2 octobre dernier, n'ait pas considéré comme circonstances atténuantes ses aveux et sa collaboration avec les instances disciplinaires et réclame une réduction de sa suspension.
Le TAS, conformément à ses propres règles, a quatre mois pour statuer sur le cas. /si