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Une édition qui commence en demi-teinte

Après deux jours de programmation, le Festival international du film se la joue plutôt en dents de scie.

03 août 2018, 00:01
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qu’est-ce qu’un démarrage de Festival réussi? Quand, d’emblée, les premiers films découverts, nous submergent d’émotions subtiles ou défient notre intelligence par leur caractère innovant? Hum, jugé à cette aune-là, le début de cette 71e édition se révèle plutôt mi-figue mi-raisin.

Mercredi 1er août, en soirée d’ouverture, après un hymne national joué à la harpe, le public de la Piazza Grande s’est prêté de bonne grâce à une facétie de programmation assez culottée. Dans un premier temps, le court-métrage «Liberty» nous a permis de renouer avec la sottise aussi feinte que fascinante de Laurel et Hardy s’essayant méchamment à échanger leurs pantalons au sommet vertigineux d’un gratte-ciel en construction.

QI inférieur à 70

Après la projection de ce chef-d’œuvre remontant à 1929, «Les beaux esprits», proposé en première mondiale, en semblait la réjouissante continuation en matière de bêtise simulée, du moins sur le papier. Tiré de faits authentiques, qui se...

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