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Une décennie plus tard, Waterloo, morne plaine?

Mélange de suite et de préquelle, un numéro deux qui ne renouvelle guère sa recette. Réservé aux nostalgiques d’Abba.

27 juil. 2018, 00:01
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Voilà dix ans, «Mamma mia» avait fait chanter les plus grands tubes d’Abba à des stars du cinéma a priori peu douées vocalement. Tiré d’un spectacle à succès de Broadway, cette comédie musicale, qui voyait s’égosiller Meryl Streep, Pierce Brosnan et Cie toute honte bue, sacrifiait de façon grandiose au pire mauvais goût, au point que l’on se fichait comme d’une guigne de l’histoire, pur prétexte à enfiler comme sur un collier de perles les hymnes immémoriaux du groupe suédois.

Une décennie plus tard, Universal retente le coup, en reprenant le même principe, à savoir: raconter une historiette qui permette de réaligner les hits d’Agnetha, Benny, Björn et Anni-Frid massacrés par les célèbres amatrices et amateurs que l’on sait. Scénariste et réalisateur de cette resucée, Ol Parker ne s’est pas trop creusé le ciboulot en nous fagotant un script qui procède à la fois de la suite et de...

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