«Je suis très heureux de pouvoir présenter au public un programme d’une richesse aussi considérable», se réjouit Valentin Reymond. Le codirecteur des Jardins musicaux fait allusion, bien sûr, à la qualité des œuvres et des interprètes qui, jusqu’au 2 septembre, donneront leur lustre au festival. Mais aussi à la pluralité de genres et de styles proposée avec la complicité de Maryse Fuhrmann. Ciné-concert, théâtre musical, musique mâtinée de danse, jazz, opéra, installation sonore, concert «classique»: l’éventail est très large.
Survol de l’édition 2018, en quelques mots-clés.
Maturité
«Cette année, je suis frappé par la maturité qui transparaît à tous les niveaux, administratif, technique, et ce malgré la jeunesse de l’équipe», témoigne Valentin Reymond. Une maturité qui, bien sûr, imprègne aussi la dimension artistique du festival. En premier lieu, le chef ne manque pas de mentionner «son» orchestre des Jardins, un outil en mode majeur. «Cette maturité et les expériences...