Centraf
Grosse bastringue
La Grosse Bastringue, c’est un sacré bazar. Ce sont des disques sortis du grenier, non pas parce qu’ils sont de qualité, mais parce qu’ils sont mythiquement ancrés dans nos cerveaux qui, pourtant, avaient tout fait pour les oublier. Alors ceux qui voudraient restimuler les neurones où sont stockés les inavouables tubes de l’été, c’est au Centraf qu’il faudra se diriger. Après avoir officié aux afters de la Plage et pour l’Halloween party de Bikini, cette équipe de déjantés et ses potes préférés se feront un grand plaisir de faire dérailler la piste de danse de ce club où convergent les noceurs qui n’ont pas envie de rentrer.
La Chaux-de-Fonds, vendredi 28 février, 21h-4h.
Vibe Club
Students’ night
C’est bon, les examens sont terminés et le semestre vient tout juste de recommencer. Les étudiants de l’Université sont rassurés ou déprimés, mais ont en tout cas bien besoin de décompresser. Du coup, le Vibe Club leur concocte une soirée qui leur est spécialement dédiée, avec des DJ hip-hop, afro ou latino. Il pourra compter notamment sur le DJ neuchâtelois Two-Keys, ancien résident du Para et habitué de la Secomania, qui balance des sons groovy à faire danser mamie, se baladant de la trap au dancehall en passant par le hip-hop et le R’n’B.
Neuchâtel, vendredi 28 février, 23h55-5h.
Case à Chocs
Grosse Famille
La Grosse Famille, c’est toute une troupe de DJ animés par la même passion pour les sons qui sortent les morts des tréfonds. Pour sa sixième édition, elle invite les survivants de l’apocalypse à suivre la route 666 pour venir se réfugier dans l’antre des humains de demain. Ceux qui franchiront les murs épais de la Case à Chocs n’auront plus qu’à se laisser porter par les sets techno, house, garage, rap ou dub d’une dizaine de DJ. Parmi eux, l’Anglaise re:ni, ses tempos jouissifs, son style fluide et ses basses percutantes de house acide vous feront l’effet d’un puissant revigorant. Son compatriote Proc Fiskal balancera, lui, des sons beaucoup plus industriels, crasseux et sales, qui rappelleront à chacun que faire la fête est aussi jouissif, absurde, addictif et dérageant que le monde dans lequel on vit actuellement.
Neuchâtel, samedi 29 février, 23h-5h.