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Sauve qui peut, revoilà Noël!

Le mois de décembre ravive l’idée de fuir les excès de fin d’année pour se ressourcer sous d’autres latitudes.

08 déc. 2018, 00:01
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Et boum, c’est déjà l’Avent! Le grand commerce n’a pas attendu cette échéance pour nous inviter à la (sur)consommation. Les premiers catalogues de jouets sont arrivés fin octobre déjà, les marchés de Noël alignent un peu partout leurs stands de bougies et pains d’épice (quand ce n’est pas frites et merguez). Déplorer les dérives mercantiles de la fête religieuse constitue un tel lieu commun que le père Fouettard pourrait bien tancer les grincheux qui le ressortent chaque année.

Il n’empêche: décembre est de retour avec ses dépenses exorbitantes, les collègues qui ont un verre dans le nez, les bûches pâtissières hypercaloriques, les échanges de cadeaux inutiles, les angoisses diffuses à l’approche du réveillon prétendu convivial. Les réjouissances programmées peuvent se révéler stressantes, que la famille soit unie, divisée, recomposée, inexistante ou décédée. Elles génèrent nostalgie et solitude. Et si on les boudait, quitte à froisser ceux qui n’ont pas...

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