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Parler intégration pour ne pas stigmatiser

Dans le cadre des 15e Journées de la schizophrénie, une conférence aborde la nécessité d’intégrer les personnes souffrant de tels troubles.

17 mars 2018, 00:01
A new installation by British Artist Antony Gormley entitled 'Walk in A Cloud Of Mist' at the Hayward Gallery in London, Britain 15 May 2007. The smoke-filled glass room is part of a new exhibition called 'Blind Light'. The exhibition is sponsored by Eversheds LLP and runs from 17 May to 19 August 2007.  (KEYSTONE/EPA/LINDSEY PARNABY) BRITIAN ART GORMLEY

Il estime «réducteur et stigmatisant» de la cantonner à une névrose unique. La schizophrénie «englobe un ensemble de troubles psychotiques», insiste le professeur Philippe Rey-Bellet. Ce médecin chef du département de psychiatrie communautaire et forensique du Centre neuchâtelois de psychiatrie (CNP) donnera une conférence, lundi, sur le site de Préfargier, dans le cadre des Journées de la schizophrénie.

Un individu sur cent

Sa thématique, «La ou les schizophrénies: un enjeu pour l’intégration?», s’articulera autour de l’importance «cruciale», selon la terminologie du professeur, de l’intégration sociale des personnes souffrant de tels déséquilibres psychiques. Soit un individu sur cent, tous sexes, toutes cultures et toutes formes de troubles confondus. Philippe Rey-Bellet est formel, «l’isolement renforce une évolution négative de ces pathologies».

Aussi les thérapies actuelles visent-elles une prise en charge le plus possible ambulatoire, ainsi qu’une intégration maximale au sein de la communauté.

Et le médecin chef du CNP de s’empresser de...

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