L’accrochage suit un ordre chronologique. Du début du daguerréotype à l’avènement de l’appareil Kodak. L’idée? Remonter aux sources de l’iconographie pour raconter le mariage entre la montagne et l’image.
Pour ce faire, ce ne sont pas moins de 200 vues issues de 18 collections publiques et privées qui sont à découvrir, dès ce samedi 8 mai, au Musée des beaux-arts du Locle (MBAL) «Un trésor», estime Nathalie Herschdorfer, directrice du lieu, en évoquant la nouvelle exposition «Montagne magique mystique».
Clin d’œil au semi-confinement
Pourquoi ces qualificatifs? «La montagne a de tout temps fasciné l’être humain. Aujourd’hui encore, on nous vend des paysages majestueux et des alpinistes continuent de l’explorer.»
Et puis, cette année est plus que jamais propice à la (re) découverte de la nature. Pandémie oblige, les Suisses vont respirer le bon air des Alpes. Celles qui furent les premières à susciter l’engouement des photographes.