Une envie de surprendre. De nous bouleverser et de nous emporter. Relayée par le visuel du programme, une bourrasque balayant un champ où, peut-être, glisse un bateau, elle anime la nouvelle saison du théâtre du Passage.
«Nous avons 18 ans; j’ai eu envie d’insuffler l’audace et la joyeuse insolence de cet âge-là», commente le directeur du Passage Robert Bouvier, qui a dévoilé sa programmation au public lundi soir, à Neuchâtel. «Nous avons à cœur d’emprunter d’autres chemins buissonniers encore, de sortir des sentiers battus.»
A l’image de quelques Passage de midi par exemple, qui dérégleront nos horloges. Ainsi, le 21 novembre, on débattra des directives anticipées à 18h, et c’est à 23h, le 22 février, que Pat Genet noiera la petite salle sous des vagues electro noise.
On s’est arrêté sur quelques autres levers de rideau, puisés dans les 44 spectacles à l’affiche.
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