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Le football, instrument de lutte ou miroir du racisme ordinaire?

Cinq intervenants entrent sur le terrain du débat ce jeudi. Dont un ex-champion du monde.

20 mars 2018, 00:01
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Insultes, chants racistes, cris de singes, lancer de bananes, banderoles antisémites: certains supporters débordent d’imagination lorsqu’il s’agit de s’en prendre à l’adversaire, surtout si sa couleur de peau est différente. Le Centre international du sport, cofondé à Neuchâtel par la Ville, le canton, l’Université et la Fédération internationale de football (Fifa), qui se définit comme une «passerelle entre le monde académique et les associations sportives», s’invite au cœur de la Semaine contre le racisme.

Ce jeudi, il réunit donc autour d’une table ronde cinq acteurs renommés du ballon rond. Deux collaborateurs du centre, Raffaele Poli, responsable de l’observatoire du football, et Thomas Busset, chercheur spécialisé sur ces questions; Patrick Gasser, en charge du dossier «football et responsabilité sociale» à l’Union européenne de football (UEFA); et deux sportifs, Christian Karembeu, membre de l’équipe de France championne du monde en 1998, Néo-Calédonien, devenu ambassadeur auprès de l’UEFA, et Guillaume Hoarau, natif de...

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