De frappantes sauterelles pulsant le rap d’une colonie de fourmis vendangeuses. Là-haut, une libellule de voltige. Puis des nuées d’étourneaux grappilleurs, des choristes enrobés d’automne, quelques tapeurs de carton entourés de dix jeux de cartes vivantes, enfin deux centaines de mercenaires porteurs de lumière. Parenthèse onirique.
La semaine dernière, lors de la présentation à la presse de quatre extraits du spectacle, le rêve a repoussé la nuit dans les coulisses de ce vaste théâtre à cieux ouverts.
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Entrer dans l’arène, c’est sortir du monde
Déjà, entrer dans l’arène, c’est sortir du monde. Puis s’insinuer en cette intimité conjuguée au monumental où des milliers de créatures polychromes remettent la tradition en mouvement, la replacent au cœur de notre époque et de ce spectacle dont on n’a vu que le début.
Le reste, on l’imagine avec...