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L’Auvernier Jazz Festival lève des fonds pour se professionnaliser, un peu

Plombé par une dette cumulée d’environ 190’000 francs, l’Auvernier Jazz Festival cherche son second souffle au travers d’un financement participatif. L’argent recueilli n’ira pas aux créanciers, mais à la semi-professionnalisation de l’association à but non lucratif.

23 janv. 2019, 17:26
Auvernier Jazz 2016  Auvernier, 27. 08. 2016, photo Benoit Python

La campagne de financement participatif lancée par le directeur de l’Auvernier Jazz Festival (AJF) est partie sur les chapeaux de roues. Plus de 10’000 francs sont tombés dans l’escarcelle de l’association à but non lucratif en une petite semaine. L’objectif du crowdfunding est de récolter des dons à hauteur de 50’000 francs, voire plus. Mais surtout pas moins: dans cette hypothèse, l’AJF ne toucherait pas un radis de l’argent promis! Ce sont les règles du jeu, indique Jean-Martin Peer. Le directeur du festival perchette joue la transparence.

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Jean-Martin Peer, comment s’est endetté le festival?

Les deux premières éditions, en 2009 et 2010, se sont soldées par un gros trou. Environ 150’000 francs au cumul des deux éditions. Mais j’étais convaincu qu’il fallait continuer, car la notoriété se construit sur le temps.

La suite vous a-t-elle donné...

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