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Fête de la musique: Neuchâtel s’est déhanchée jusqu'à tard dans la nuit

La Fête de la musique a battu son plein pendant tout le week-end à Neuchâtel. Scènes rock, hip-hop et sets de DJ se sont succédé pour le plus grand plaisir des mélomanes et des fêtards.

23 juin 2019, 13:19
La Fête de la musique a attiré du monde en ville de Neuchâtel.

Les basses des trois scènes ouvertes ont fait trembler la pierre jaune de la ville de Neuchâtel dès vendredi. En tout, plus de quarante formations se sont produites ce week-end à l’occasion de la Fête de la musique.

Entre pluie et soleil

Pendant la soirée de vendredi, des averses de pluie massives ont plombé l’atmosphère, et suite à un orage violent le Big Band de Ton sur Ton n’a malheureusement pas pu donner son concert de clôture de soirée. Mais la météo a été fidèle au rendez-vous pour la journée et la soirée de samedi. Entre stands de nourriture, bières et bonne humeur, les fans de concerts en ont eu pour leur compte. Le début de l’été a été célébré en musique sur le Littoral.

Ça fait vraiment plaisir de voir Neuchâtel se remplir comme ça le soir
Des fêtards croisés samedi en ville

Au Musée d’art et d’histoire, samedi après-midi, les élèves de la Haute Ecole de musique ont rendu hommage au compositeur allemand Kurt Weill. Pour les amateurs de blues, de pop ou de jazz klezmer (le groupe Yvostellka), la grande scène offrait une programmation très variée.

Et, une fois le soleil couché, le rock de Dracadam a permis de continuer la fête, suivi par la formation de hip-hop Armelle, qui a définitivement mis en mouvement toute la rue du Concert, à côté de l’Hôtel-de-Ville, avec ses vibes positives et une énergie authentique.

Les sets de DJ ont invité les fêtards à danser. Photo Muriel Antille

Si l’ambiance était plutôt familiale durant la journée, les fêtards sont sortis en ville dès la nuit tombée, notamment pour suivre les sets de DJ de la Place Pury.

«Ça fait vraiment plaisir de voir Neuchâtel se remplir comme ça le soir», témoignaient plusieurs d’entre eux, dansant dans la fumée et sous les projecteurs, sous l’œil de la statue de David Pury, toujours habillé d’un gilet violet et d‘un foulard fuchsia depuis la grève des femmes du 14 juin.

Des rues qui dansent

D’autres zones de la ville, comme la rue du Neubourg, ont quasiment fait concurrence aux scènes officielles. Les fêtards s’y trémoussaient dans une foule dense sous les néons colorés. 

Pour les plus résistants et les plus motivés, la fête se poursuivait jusqu’à six heures du matin, aux clubs Vibe et O-Zone.

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