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Festival des roux aux Breuleux: la symbolique n’est pas la même selon qu’on soit roux ou rousse

A l’initiative de François Vorpe, traumatisé depuis l’enfance par la couleur de ses cheveux et ses taches de rousseur, la première édition du Festival des roux s’est ouverte vendredi soir, aux Breuleux. Témoignages et explications scientifiques.

30 nov. 2019, 16:57
"J'avais 6 ans lorsque mes camarades ont coupé ma chevelure", raconte cette participante au Festival des roux.



LES BREULEUX 29/11/2019
Photo: Christian Galley

Dans le public, beaucoup de chevelures flamboyant de rouge, mais aussi des «sel et paprika», comme on appelle poétiquement les roux dont les cheveux ont pris de l’âge. Pas de jeunes, ni d’enfants: «Ils se cachent encore», regrette l’organisateur François Vorpe, accueillant les derniers arrivés dans son café-théâtre des Planches, aux Breuleux. C’est pourtant à eux que ce festival est dédié, ce vendredi soir, mais aussi samedi soir: «Je voudrais qu’ils sachent qu’ils ne sont pas seuls. J’espère que le monde adulte apprendra à leur ficher la paix. Il faut se rendre compte des dégâts que de simples phrases peuvent faire!»

J’ai demandé à mes proches si j’avais une odeur particulière, du fait que je suis rousse. Ils disent que non. Mais ils sont peut-être faux culs…
Une participante rousse

Au programme ce soir, un film dédié aux rousses, puis une table ronde composée de spécialistes sur la question. En...

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