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Etre ou ne pas être bien nommé: on vous raconte le monde du bon côté

12 déc. 2020, 12:00
Jean-François Albelda, responsable culture au "Nouvelliste".

Vous avez vu le film «Le prénom?». Si oui, vous serez d’accord de dire que le fait de donner un prénom à un enfant tout juste venu au monde n’est pas une chose à prendre à la légère. Enfin, parfois, pour peu qu’on ait l’esprit taquin, la blague doit être tentante. Comme quand il s’agit de nommer son restaurant asiatique «Thaï Tanic» par exemple. Sérieux, on en trouve à Göteborg, à Belfast, à Washington... La liste est aussi longue et insubmersible que celle des salons de coiffure ayant opté pour le jeu de mots à base d’«hair» ou «tif». Même qu’il y en a qui cumulent, comme le délicieux «Faudra Tif Hair», qui existe vraiment lui aussi à différents lieux où ma foi, on aime le calembour capillotracté. Allez, je dépose les appellations «Patibul’Hair» et «Sans sous Tif». Enfin s’ils n’existent pas déjà.

Mais on digresse. Dans nos bonnes nouvelles...

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