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Des femmes qui se coupent en quatre

Au Brésil, la réalisatrice Laís Bodanzky dresse le portrait des femmes et des pressions que la société leur impose. Un film universel sur les mutations de l’existence.

06 juin 2018, 00:01
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Auteure reconnue de documentaires, par exemple sur l’éducation dans les établissements scolaires ou la place des femmes dans le domaine du sport, la réalisatrice brésilienne Laís Bodanzky excelle également dans la fiction. Après «Brainstorm», l’histoire d’un jeune homme admis dans un hôpital psychiatrique en raison de son accoutumance à la marijuana, et «Les plus belles choses au monde», une comédie sur le passage à l’âge adulte, la cinéaste scrute avec acuité la condition des femmes au sein de la société contemporaine urbaine au Brésil dans «Comme nos parents» («Como Nossos Pais»).

Présenté en compétition au Festival de Berlin, ce film fascine par sa capacité à révéler cette réalité contrastée dans une histoire limpide portée par l’excellente actrice Maria Ribeiro.

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