Le directeur technique de Red Bull Racing, Adrian Newey, est l'un des derniers dinosaures de la Formule 1 moderne. Cet ingénieur génial est toujours capable, au bout de 25 ans de F1, de trouver des failles dans les règlements pour en faire profiter ses pilotes.
Le dernier exemple date du GP d'Allemagne, la semaine dernière à Hockenheim. Une nouvelle cartographie électronique, sur les moteurs Renault de Sebastian Vettel et Mark Webber, a intrigué Jo Bauer, le délégué technique de la Fédération internationale de l'automobile (FIA), et provoqué une mini-enquête des commissaires de course, le dim...