Il compte bien continuer à nourrir les pigeons devant chez lui, au centre-ville de Neuchâtel. Condamné, Milo, de son pseudonyme, a porté le cas devant le Tribunal de police, qui doit se prononcer le mois prochain. "Je mets un genou à terre, mais je ne me couche pas", dit-il, résolu.
Le Ministère public s’était d’abord montré indulgent. Constatant la propreté des lieux, il renonçait à entrer en matière, renvoyant Milo à son engagement de réduire le nourrissage et de d...