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Un délai à juin 2015 pour penser les installations du futur

Tous les groupes politiques du Conseil général de Val-de-Travers ont voté le sursis de deux ans demandé.

19 févr. 2014, 00:01
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Prises au cou financièrement, notamment à la suite d'importants prêts communaux, les remontées mécaniques de la Robella (TBRC) peuvent à nouveau souffler depuis lundi soir. La commune vient en effet de desserrer l'étreinte en acceptant de prendre en charge les annuités de son propre prêt. Soit un effort de 100 000 francs par an pour la collectivité cette année et l'année prochaine, histoire de permettre au groupe de réflexion Avenir Robella de prévoir le futur de la station.

Lundi soir dans la salle de gymnastique de Saint-Sulpice, des conseillers généraux issus de tous les partis ont accepté "cette réflexion de la dernière chance" , comme l'a présentée le conseiller communal Frédéric Mairy. Sur 34 votants, 28 ont donné leur assentiment à cette solution, pour cinq abstentions, toutes issues des rangs libéraux-radicaux, ainsi qu'une récusation, celle du socialiste Sven Schwab.

Si le résultat du vote est on ne peut plus clair,...

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