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Neuchâtelois par les tripes

Vernissage très couru de l'expo «Je NE suis» au Musée des beaux-arts. Autour du thème de l'identité «S'ouvrir, c'est accueillir l'autre, le respecter, essayer de comprendre les différences de cultures et de mentalités. Mais il n'est pas possible de le faire sans connaître ses propres racines, sans défendre, entre guillemets, ses propres valeurs.» Le conseiller communal Charles Häsler saluait, samedi au Musée des beaux-arts du Locle, l'expo qui venait de s'ouvrir devant une vaste assistance: «Je NE suis». Expo qui, dans le cadre de Neuchàtoi, «est une affirmation nécessaire de notre culture et de notre histoire».

16 oct. 2006, 12:00

«Nous voulions ouvrir certaines portes, ouvrir des perspectives à travers cette expo», expliquait la jeune conservatrice Stéphanie Guex. «Je NE suis» réunit des oeuvres d'artistes neuchâtelois issues des trois musées du canton (notre édition du 14 octobre). Charles Häsler se félicitait de «cet échange interculturel intercommunal»!

L'une des toutes premières personnes contactées par Eric Augsburger, président du comité d'organisation de Neuchàtoi, c'était justement Stéphanie Guex, qui venait de prendre ses fonctions. Elle a été «preneuse» tout de suite, soulignait Eric Augsburger. Les manifestations de Neuchàtoi vont s'achever. Elles ont déjà déplacé plus de 100.000 personnes. Pas mal pour un canton de quelque 170.000 habitants... Autour de cette thématique de l'identité, «de ce qui fut nos racines, comment on intègre les étrangers, comment ils deviennent rapidement Neuchâtelois par le coeur ou, en tout cas, par les tripes!» /CLD

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