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Les ententes communales menacées de disparition en cas de fusion

Si le Canette combat la fusion de l'Entre-deux-Lacs sur laquelle les citoyens sont appelés à se prononcer dimanche, c'est aussi parce que l'entente villageoise du Landeron, risque, à l'instar de celles des autres villages de disparaître. Le PLR, par contre, aurait tout à gagner de cette union.

23 nov. 2015, 18:10
/ Màj. le 23 nov. 2015 à 20:42
Vue de Cressier, l'une des sept communes appelées à se marier..      photo Plachta, Cressier , juillet 2003

Qui dit fusion, dit regroupements à tous les niveaux. Y compris du côté des partis politiques. Expérience faite, par Val-de-Ruz et Val-de-Travers, les ententes communales se dissolvent au profit des grands partis. Un constat qui pèse probablement  lourd dans l'opiniâtreté que met le Canette, parti villageois du Landeron, à s'opposer à sa fusion avec Lignières, Cressier, Cornaux, Saint-Blaise, Enges et La Tène. D'autant que cette entente est forte de 14 sièges au Conseil général, à égalité donc, avec le PLR, le PS en comptant huit. Forte également, l'Entente de la Tène compte 12 membres dans les rangs du législatif pour14 PLR et 13 PS.

A Enges, l'entier des autorités peuvent être associées à un parti villageois puisqu'il n'existe ni PLR ni PS. Ces deux derniers partis sont donc ceux à qui devrait profiter une union à sept. L'UDC, avec 4 membres au Landeron, ne peut régater seule, et moins encore les quasi inexistants PDC (2 membres à La Tène) et Cadmos (1 membre au Landeron. Analyse faite, le PLR, actuellement fort de 90 conseillers généraux au sein des sept communes, aurait tout à gagner d'une redistribution des sièges en cas de fusion. Le PS, avec ses 59 membres, en profiterait également 

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