Lundi, la thématique des fusions figurera de nouveau en bonne place dans l’ordre du jour des séances des conseils généraux de six communes de l’Entre-deux-Lacs. Suivant la recommandation de l’association «Fusion: non merci!», les habitants du Landeron se sont volontairement mis hors-jeu, le 29 novembre dernier, en rejetant le projet de fusion à sept communes par deux tiers des votants. Fort de l’acceptation, dans la même proportion, du projet par les six autres communes, le comité de pilotage (copil) a interprété le résultat du vote comme un clair désir de remettre, rapidement, l’ouvrage sur le métier, sans Le Landeron évidemment. Ni Hauterive, qui s’était déjà distancié du projet à huit; les Altaripiens préférant envisager une double fusion à quatre communes.
Hier, l’association antifusion landeronnaise en a remis une couche au travers d’un communiqué qui s’étonnait, une nouvelle fois, de «l’empressement, pour ne pas dire l’entêtement, du comité de pilotage qui...