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«J’aime parler d’amour depuis toujours»

La chorégraphe Joëlle Bouvier a emmené le Ballet du Grand Théâtre de Genève dans l’univers de Wagner.

04 févr. 2016, 06:13
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Joëlle Bouvier est heureuse de revenir à Neuchâtel, sa ville natale. «Je chéris mes souvenirs d’enfance, mais j’aime aussi partager des événements de ma vie d’aujourd’hui avec le public de cette ville.» Ce week-end au théâtre du Passage, les liens avec la chorégraphe s’intensifieront autour de son nouveau spectacle, «Salue pour moi le monde!», une adaptation audacieuse de «Tristan et Iseut», l’opéra de Wagner.

Vous vous êtes emparée d’un opéra de Wagner dont la musique n’est pas faite pour être dansée. Un goût immodéré des défis vous habite?

C’était un grand défi, oui. Mais au départ, il s’agit d’une initiative de Philippe Cohen, le directeur du Ballet du Grand Théâtre, qui m’a proposé trois opéras différents: «Norma», de Bellini, «Tosca», de Puccini, et ce «Tristan et Iseut» de Wagner. J’adore la musique italienne, je trouve que l’opéra, c’est somptueux. Mais cette musique ancienne et très connue m’aurait aussi posé certains...

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