Fabien Dunand, qu’est-ce qui vous a conduit, vous le Vaudois, à vous intéresser au Jura et à François Lachat?
La Question jurassienne m’a toujours intéressé, depuis les années 70. Quand j’étais rédacteur en chef au quotidien «24 heures» à Lausanne à la fin des années 80, nous suivions avec grand intérêt ce qui se passait dans le Jura avec mes collègues Alain Pichard et Vincent Philippe. Par ailleurs, un de mes vieux amis, Philippe Dubath, aujourd’hui à la tête des éditions Attinger, me parlait souvent de François Lachat, qu’il connaît très bien, et c’est ainsi que nous avons eu l’idée...