Une empreinte éternelle
«L'étymologie m'amuse beaucoup, confie Laurence Vaucher, conservatrice. Les mots gardent une empreinte de beaucoup de civilisations.» L'équipe du musée entreprend donc de ressortir de ses réserves des objets dont les noms sont méconnus, ou carrément oublié. «Il fallait donner du sens aux objets», résume Laurence Vaucher.
Ainsi apprend-on que «bidon» vient du scandinave, amené par les Normands. Et qu'«alambic» vient de l'arabe «al anbic»: «vase à distiller». / fae