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Le marché des plantes, quelles soient médicinales ou alimentaires, s’apparente à une jungle

Les plantes locales face au marché global au menu d’un Café scientifique de l’Université.

20 avr. 2018, 00:01
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«La menthe que je cultive est extraordinaire. Mais en tant que droguiste, je ne peux pas la vendre. Alors qu’un herboriste, lui, pourrait le faire.»

C’est avec passion (mais aussi un peu de dépit parfois) que Pierre-André Virgilio, droguiste à Fleurier, a parlé mercredi soir des «Plantes locales face au marché global». C’est le titre du Café scientifique proposé par l’Université de Neuchâtel dans un cadre regorgeant de plantes en tous genres: le Jardin botanique, sur les hauts de la capitale cantonale.

L’occasion pour tous ceux qui ne connaissent pas le marché des plantes d’en savoir davantage sur ce qui s’apparente à une jungle. Marché? Il n’y a qu’à voir la longue liste des thés et tisanes vendus dans les grandes surfaces. Jungle? La discussion a surtout porté sur des aspects formels. Exemples: quelle est la différence entre une plante médicinale et une plante ayant «seulement» le statut de complément...

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