Souvenez-vous. C’était la dernière semaine de mars. On venait de suspendre les championnats d’à peu près tous les sports, lesquels se retrouvaient subitement groggy. Dans les journaux, l’explosion de la propagation du virus ne laissait plus de place à aucune autre catégorie de nouvelles.
C’est dans cette ambiance qu’une une bombe a éclaté au sein du petit monde du volleyball neuchâtelois, sans que personne ou presque ne lui prête attention. On apprenait en effet non seulement que l’&...