En vingt ans de politique, le président de commune des Verrières Jean-Bernard Wieland n'avait encore jamais connu ça. Vendredi soir, le législatif a apposé son veto à une demande de crédit de l'exécutif. Cette première portait sur la désaffectation partielle du cimetière communal - les 456 tombes les plus anciennes auraient été concernées, soit près de la moitié du cimetière. Celui-ci restera donc dans son état " pitoyable ", comme le décrit le rapport du Conseil communal.
La fronde est venue du groupe libéral-radical. Son porte-parole Jean-Pierre Rey a sonné la révolte. " Oui, le cimetière ...