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Yvan Perrin: «Je n’ai pas laissé que des souvenirs impérissables»

Nous avons reçu dans nos locaux dix candidats aux élections fédérales dans le canton de Neuchâtel. A nos yeux, ils sont les seuls susceptibles d’occuper un siège – au Conseil national ou aux Etats – à l’issue des élections fédérales du 20 octobre prochain. L’Union démocratique du centre compte sur Yvan Perrin pour sauver son siège au Conseil national. Si son parcours s’est avéré chaotique ces dernières années, les idées du Vallonnier n’ont pas varié.

25 sept. 2019, 16:00
«Nous prenons le risque de voir l’Union européenne exiger des compensations. Ce qui est un terme poli et élégant pour évoquer des représailles», selon Yvan Perrin.

Yvan Perrin, 52 ans, sera-t-il le revenant de l’année? L’Union démocratique du centre, l’UDC, compte sur lui pour sauver son siège neuchâtelois au National. Le consultant, ancien policier, est optimiste. «Mon anxiété décroît au fur et à mesure que les échéances passent», lâche le citoyen de La Côte-aux-Fées. Et de convenir: «Je n’ai pas laissé que des souvenirs impérissables en politique.»

Depuis plus de 15 ans, il anime, pour de bonnes ou de mauvaises raisons, la vie politique neuchâteloise. En 2003, c’est quasiment un ovni que les citoyens ont envoyé une première fois au National. Jusqu’en 2013 et son élection au Conseil d’Etat, il n’y a pas eu d’accrocs. La suite, tout le monde la connaît.

Vélo pas électrique

Yvan Perrin est venu à notre rédaction en t-shirt, une tenue décontractée qui est bien loin du costard cravate qu’il portait lorsqu’il était candidat au Château. Côté forme physique, il la...

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