Ce n’est pas une affaire de stup comme les autres. Et le profil du prévenu n’est pas banal non plus. On s’en est rendu compte dès ses premiers mots, au tribunal. Le «processeur» intellectuel de ce Loclois tourne visiblement plus vite que la moyenne. Ce qui n’a pas empêché sa chute, rapide, dans la crystal meth.
Lorsqu’il était manager actif dans le domaine pharmacologique, «avec un salaire de plus de 9000 francs», l’homme a utilisé ses «hautes compétences informatiques...