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Sport: les menstruations, ce «gros tabou»

Le cycle menstruel et la contraception des sportives sont trop souvent ignorés. Quatre athlètes prennent la parole pour raconter leurs expériences personnelles face à ce qu’elles estiment être une forme de sexisme.

07 mai 2021, 16:00
De gauche à droite et de haut en bas: Ilona Guede Redondo, Déborah Marti, Marianne Fatton et Loanne Duvoisin.

Les skieuses Marianne Fatton et Déborah Marti, la triathlète Loanne Duvoisin et la footballeuse Ilona Guede Redondo ont un point commun: elles sont toutes les quatre sportives d’élite.

En tant qu’athlètes féminines, elles font face à des spécificités que ne connaissent pas leurs homologues masculins. Et ces caractéristiques ne sont que rarement prises en compte lors de leur pratique.

Dans le monde du sport, l’absence de règles n’est pas considérée comme un problème à résoudre.
Déborah Marti, skieuse

«On ne parle pas assez du corps de la femme et de son système hormonal dans le sport d’élite», observent la Vaudruzienne Marianne Fatton et la Valaisanne Déborah Marti, qui sont amies.

A lire aussi: Je suis femme et sportive, que dois-je faire?

«Ne pas prendre en considération le corps de la femme, son cycle menstruel et sa contraception dans la planification de son entraînement est pour moi une forme de sexisme»,...

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