La nuit est tombée sur le domaine skiable des Bugnenets-Savagnières. Une fois les pistes désertées, le bal des dameuses entre en scène. «A 17 heures, dès la fermeture des téléskis et le signal du patrouilleur, les machines peuvent partir», relève Roland Wälti, responsable des trois dameuses du domaine. «Le signal» parce que plus personne ne doit alors se trouver sur les trente kilomètres de pistes enneigées.
Mardi soir, le ciel est d’un bleu très foncé. La température avoisine -5 degrés, mais dans cet engin imposant, il fait bon chaud. Dans la nuit noire, impossible de manquer les nombreux pann...