C’est la période, jamais très agréable, où la population neuchâteloise reçoit noir sur blanc les hausses de primes, en l’occurrence pour 2017. Les assurés ont un bon mois (jusqu’à fin novembre), pour décider s’ils vont voir ailleurs.
Nous l’avons déjà écrit, Assura reste l’option la moins chère en règle générale, particulièrement pour les adultes, mais il y a des exceptions dans les modèles alternatifs, comme le montre l’un des cas sélectionnés dans notre infographie, ci-contre.
Le Réseau de soins neuchâtelois (RSN), par exemple, propose, pour les jeunes adultes, une prime un peu meilleur marché que l’assureur vaudois, via la CSS.
Créé en 2010, le RSN rassemble aujourd’hui huit caisses-maladie et plus de 24 000 assurés neuchâtelois (notre édition du 1er octobre), soit largement plus de 10% de la population du canton. Parmi les principaux acteurs du marché, seule Assura n’a pas encore conclu d’accord avec le réseau cantonal.
Responsable opérationnel...