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Oui à l'Est, non aux allocations

Les membres du Parti radical-démocratique neuchâtelois ont approuvé mercredi soir, sans opposition, le «milliard de cohésion» en faveur des Etats d'Europe de l'Est qui sera soumis en votation le 26 novembre. Un montant à dépenser sur dix ans pour financer divers projets que la Suisse mènera dans ces pays pour «reconstruire un mur de prospérité et de sécurité», a soutenu le conseiller national Didier Burkhalter.

29 oct. 2006, 12:00

La perspective d'un minima pour les allocations familiales (200 francs par enfant; 250 pour ceux en formation) a par contre divisé les radicaux. Dont les instances dirigeantes - nationales et cantonales - ne veulent pas de ce projet. Avec une pointe d'ironie, Sébastien Leprat a rappelé que le montant des allocations se situe, en moyenne suisse, à 196 francs. Que de foin pour quatre petits francs supplémentaires... L'interprétation du secrétaire romand du parti a fait bondir une militante. «Neuchâtel offrira 170 francs dès l'année prochaine pour le premier enfant. La différence est de 30 francs!», s'est-elle offusquée. Au final, l'assemblée radicale a refusé par 28 voix contre six et neuf abstentions le projet de loi fédérale sur les allocations familiales. / ste

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