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Nouvelle affaire de plagiat à l’Uni

Un professeur a été auditionné, hier soir, par le rectorat.

11 déc. 2015, 01:17
ARCHIV - Eine Studentin lernt am 10. Juli 2008 in einer Bibliothek an der Humboldt-Universitaet in Berlin. Das Kabinett kommt am Mittwoch, 13. Januar 2010, zu seiner woechentlichen Sitzung zusammen, um sich unter anderem mit einer Erhoehung der Bafoeg-Saetze zu befassen. Bundesbildungsministerin Annette Schavan hatte waehrend des Bildungsgipfels im Dezember eine Anhebung in Aussicht gestellt. (AP Photo/Franka Bruns)  --- FILE - A student studies in a library of the Humboldt University in Berlin, Thursday, July 10, 2008. (AP Photo/Franka Bruns) DEU Kabinett Bildung Bafoeg

L’Université de Neuchâtel fait face à une nouvelle affaire de plagiat. A la différence, cette fois, que le plagiat n’a pas été commis dans ses murs, mais dans une autre université.

Tout a commencé par les documents que nous a fournis un «whistleblower» – un lanceur d’alerte – selon lequel un professeur de l’Université de Neuchâtel s’est fait l’auteur de plusieurs plagiats dans sa thèse de doctorat, menée dans une haute école d’un pays étranger. Disons-le d’emblée, il ne s’agit pas du professeur Sam Blili, auteur d’un plagiat par négligence (selon l’expression d’un expert) et au centre d’une affaire qui a violemment secoué l’UniNE en 2013.

«Des éléments problématiques»

Sur la base de ces documents, nous avons procédé à des vérifications afin d’établir s’il y a eu plagiat ou non. Nous sommes arrivés à la conclusion que c’est bien le cas: dans cette thèse de doctorat, nous avons trouvé plusieurs...

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