Des contacts informels ont pourtant déjà eu lieu entre l'exécutif et l'actuellle directrice de SIM (Services industriels des Montagnes), qui a déjà dit son intérêt pour la fonction, pour autant qu'elle puisse la concilier avec son mandat de chef de projet de la fusion de SIM avec les Services industriels de Neuchâtel.
«Il ne faut pas brûler les étapes», réagit pour l'heure Josette Frésard. Officiellement, il n'y a donc pas encore de négociations sur un éventuel aménagement du dicastère de la nouvelle venue pressentie. Mais l'état d'esprit semble à l'ouverture. Josette Frésard note également qu'elle n'a pas encore vu son parti. Ce sera fait ce soir, à l'occasion d'une assemblée, convoquée notamment pour faire le point sur les difficultés de Michel Barben. Ordre du jour chamboulé: c'était avant qu'il n'annonce sa démission. / ron