Voilà près de 30 ans que Pascal Obispo écume les scènes françaises et internationales. Davantage même, si l’on compte ses débuts dans d’éphémères groupes rock de la ville de Rennes, en Bretagne, au milieu des années 80. A 54 ans, le chanteur français à la voix haut perchée vient de sortir son 15e album studio, intitulé simplement «Obispo». Un disque davantage orienté pop-rock que variété, qui permet à l’auteur-compositeur de renouer avec son «ADN musical».
Avant le concert de ce jeudi au Chant du Gros, il nous parle de sa collaboration avec Benjamin Biolay, de son envie de jouer de la basse sur scène et de son aversion pour les hommages posthumes.
Votre dernier disque est plus rythmé que les précédents, avec un son plus rock…
Quand on est artiste, on a envie de changer, d’essayer des choses… Et j’avais revu des copains de Rennes, écouté beaucoup de rock, j’avais...