«Les garçons aiment les histoires un peu brutes, avec de l’action et du mouvement, les filles voulaient quelque chose de calme et de doux.» Elève aux Terreaux, à Neuchâtel, Léo exprime l’une des difficultés à surmonter lorsque l’on cherche le consensus autour d’un scénario. Et Roman d’école, ça sert entre autres à cela: trouver la voie à travers le dialogue et la négociation. Au final, c’est réussi, note le même élève: «Tout le monde a pu mettre du sien. On a choisi le meilleur.»
Les trois romans produits grâce à ce projet qui s’est mis en place pour la première fois en 2013 dans le canton sont...