Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

«J’ai le désir de m’immerger dans la fragilité de l’aube»

Le pianiste genevois Leo Tardin est l’hôte des Murs du son pour un concert solo.

06 févr. 2016, 00:41
DATA_ART_9854777

Passant du piano au Fender Rhodes, jouant la basse sur un synthé, vous l’avez peut-être vu et entendu à Auvernier l’été dernier avec Grand Pianoramax, ce «power trio» mêlant jazz, rock et rap. Leo Tardin revient, vendredi prochain à La Chaux-de-Fonds avec un autre projet, très différent, le challenge suprême pour un pianiste, le concert en piano solo. Tout ceci méritait qu’on en sache un peu plus sur ce Genevois qui passe allégrement d’une petite cave à jazz aux grandes scènes des festivals de Vienne, Tokyo ou Montreux. Entretien avec un personnage joyeux et volubile, origines genevoises obligent.

Leo Tardin, de Grand Pianoramax, sa musique aux stéroïdes, au concert acoustique en solo, c’est le grand écart?

Dès ma sortie de la New School for Jazz and Contemporary Music, à New-York, j’avais deux projets très différents: former un groupe, très actuel – ce fut Pianoramax – et faire du solo. J’ai...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias