Aucune frontière dans les airs. Poussières et particules peuvent aller et venir, libres, et traverser le ciel à leur guise. Elles ne demandent à personne le droit de migrer à volonté et d’arriver de loin, selon où les vents les amènent. «Surtout en cette période, où ils soufflent de manière plus importante», signale Frédéric Glassey, directeur de la météorologie à MeteoNews.
Avec aisance, si les courants leur sont favorables, ces corpuscules voyagent. Même depuis le Sahara! Comme le sable qui tombe depuis hier dans la pluie sur l’Arc jurassien, couvrant ainsi nos voitures de belles taches de gr...