Entrer et sortir de chez soi, utiliser les transports publics et s’orienter dans une ville... Autant de petits gestes du quotidien que l’on fait machinalement, sans penser à ce que serait notre vie si chacune de ces actions devenait difficile, sinon impossible à réaliser de manière autonome.
Invités à témoigner lors de la soirée annuelle de Pro Infirmis Neuchâtel-Jura, trois personnes en situation de handicap moteur, visuel ou auditif ont évoqué les problèmes qu’ils rencontrent tous les jours lors de leurs déplacements.
Même si leurs besoins sont de mieux en mieux pris en compte et défendus dans la loi, des «points noirs» subsistent. Les mentalités évoluent, mais il faudra du temps pour gommer toutes les inégalités.
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