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Chez Tchekhov le cruel

Une distribution étoffée, et neuchâteloise, se confronte à "La mouette".

15 oct. 2013, 00:01
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Dix comédiens et trois figurants sur scène, une distribution étoffée pour défendre "La mouette" de Tchekhov, un monument du répertoire. Le défi est de taille! Pour le relever, le metteur en scène bisontin Jean-Michel Potiron s'est entouré d'une importante équipe neuchâteloise, qui a pris ses quartiers au Temple allemand, à La Chaux-de-Fonds. Elle y répète depuis fin août, elle s'y soumettra au verdict du public dès vendredi, avant de prendre son envol au-delà de nos frontières. "Dominique Bourquin m'a aiguillé sur ces comédiens, je ne les connaissais pas tous" , retrace Jean-Michel Potiron. "On peut parler d'une famille d'acteurs, c'est ce qui m'a attiré. A mes yeux, ce fut même un argument massue: il faut des liens authentiques pour monter Tchekhov!" Entretien avec un optimiste qui a besoin, dit-il, du pessimisme tchekhovien.

Vous vous envolez avec "La mouette", l'une des grandes pièces de Tchekhov. Pourquoi celle-là?

Cela fait plus de...

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