Se délivrer des préjugés, revendiquer le droit de disposer de son propre corps, lutter contre les violences physiques: cinq femmes ont osé briser le silence dans le cadre du film «#FemalePleasure». Véritable ode à l’épanouissement de la sexualité féminine et au droit à l’autodétermination, le documentaire sera présenté en ouverture du Festival du Sud, la semaine prochaine à La Chaux-de-Fonds et à Neuchâtel.
Deuxième long-métrage de Barbara Miller, «#FemalePleasure» arpente les chemins de vie de cinq femmes issues de cultures et de religions différentes.
De New York à Mogadiscio en passant par le Rajasthan, Deborah Feldman, Leyla Hussein, Rokudenashiko, Doris Wagner et Vithika Yadav ont chacune grandi dans des familles pratiquantes : ultra-orthodoxe, musulmane, shinto bouddhiste, catholique protestante et hindoue traditionnelle. En s’appuyant sur leurs épreuves personnelles, les protagonistes se livrent avec courage pour dénoncer les conditions de vie actuelles des femmes.
La diabolisation du corps féminin
Mais «#FemalePleasure» n’est...