«Je sais que je ne vais pas gagner sur le fond, mais j’attendais au moins un peu plus de considération sur la forme.»
Locataire chaux-de-fonnier, Samuel (prénom fictif) a eu la désagréable surprise cet été de recevoir un correctif de décomptes pour le chauffage. Pas pour son appartement, mais pour des locaux commerciaux vides dans l’immeuble. Et qui plus est, pour des périodes que le commun des ménages considérerait comme classées, en l’occurrence 2013-2014 et 2014-2015. Dans les 500 f...