La bonne. Cette figure ambiguë à la croisée des luttes sociales, des tabous et des transgressions. L'artiste de Singapour Ming Wong s'est glissé dans la peau du personnage pour proposer une réflexion sur les rapports entre les classes, les races et les sexes en réinterprétant certaines scènes du cinéma classique de la seconde moitié du 20e siècle. Son travail, qui s'appuie sur la vidéo, l'installation et la peinture, est à découvrir au Centre d'art Neuchâtel jusqu'au 22 décembre.
Intitulée "Travaux domestiques", cette exposition déroutante et engagée est le fruit d'une reconstruction de scène...