Une douzaine de gendarmes en gilet pare-balles, certains armés de mitraillettes, disséminés dans et autour de l’hôtel de ville: le procès de trois des auteurs du hold-up de la bijouterie Bonnet, commis en juillet 2015 au centre-ville de Neuchâtel, s’est déroulé hier sous haute surveillance.
C’est que les trois Lituaniens, vraisemblablement dépendant d’une organisation criminelle plus vaste, n’y étaient pas allés de main morte ce jour-là. Trois hommes (dont deux des prévenus) avaient pénétré dans le magasin. L’un des prévenus, Lukas*, était resté en retrait, tandis que l’autre, Ignas*,...